Pour ceux qui sont passés au Staccato après le match hier...
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Pour ceux qui sont passés au Staccato après le match hier...
Les bouquins mentionnés:
Tim Parks est né à Manchester en 1954, a grandi à Londres et étudié à Cambridge et Harvard. En 1981, il s'est établi en Italie à Vérone où il vit depuis lors.
Ecrire un livre : c'est sans doute l'une des meilleures excuses jamais inventées par un tiffosi pour expliquer à sa femme qu'il se rendra au stade trente-quatre dimanches par an (dont dix-sept à l'autre bout du pays), s'exposera aux dangers des confrontations avec les supporters des équipes adverses, à ceux des violences policières, passera la moitié de son temps libre sur le site Web du club et s'affichera publiquement avec une horde de fanatiques déchaînés dont la finesse n'a jamais été la vertu première. Tim Parks, traducteur et romancier (on se souvient de l'excellent Destin), a donc fait d'une équipe de foot italienne l'héroïne d'un livre qu'on aborde avec une curiosité sceptique mais qu'on avale rapidement comme une épopée mêlée d'ethnologie et de science politique, à la fois subtile et hilarante. Il faut dire que Parks n'a pas choisi la plus glorieuses des squadra italiennes : depuis son titre de champion d'Italie lors de la saison 84-85 (victoire mythique rappelée sur la page d'accueil de son site), Hellas Verona n'a guère brillé et se traîne péniblement dans les profondeurs du classement de la Serie A, avec la relégation en Serie B comme menaçante épée de Damoclès. Bienvenue, donc, dans un championnat réputé parmi les plus durs du monde : toute la saison 2000-2001 de Vérone vous est ici racontée comme un roman par un observateur aussi partial qu'enthousiaste pour lequel chaque match, chaque décision arbitrale, chaque gaffe de l'entraîneur sert à la fois d'élément d'une petite tragédie sportive et de révélateur sociologique ou politique.
On ira donc à la rencontre des Brigate Gallobliù, premier cercle des supporters en jaune et bleu de Vérone, passionnés, grossiers ("si l'on considère le conformisme politiquement correct qui règne aujourd'hui, le stade reste le seul endroit où l'on peut se lever pour hurler des insanités" ; Une Saison de Vérone peut aussi être utilisé comme un petit répertoire d'insultes en italien) et souvent racistes (beaucoup imitent le cri du gorille dès qu'un Noir touche le ballon). Voilà qui fournit à Parks le biais idéal vers de longues digressions sur la politique intérieure du pays, le nationalisme acharné du Nord et, plus effarant encore, l'important impact du foot sur les résultats électoraux (Berlusconi n'est sans doute pas directeur du Milan AC seulement par passion). On suivra au jour le jour le parcours incertain d'un club dont les supporters exècrent l'entraîneur et vice-versa, on se lancera dans des scénarios statistiques labyrinthiques afin de savoir quelle place atteindra Vérone au classement si l'Inter gagne à Bologne ("le football, c'est épatant pour les calculs de ce qui aurait pu éventuellement se passer -c'est très proche de la paranoïa"), on se scandalisera de décisions arbitrales iniques, on tournera de plus en plus fiévreusement les pages afin de savoir si, oui ou non, les jaune et bleu se maintiendront en Serie A cette année. On pourra en outre déguster au passage une ou deux phrases sur Zidane assez éloignées des portraits semi-divins qu'on en donne en France ("penché en avant, il traîne une petite valise à roulettes. Avec sa casquette vissée sur son crâne, il ressemble tout à fait à ces milliers de Nords-Africains sans emploi qui traînent dans les gares de chemin de fer du sud de l'Europe"), et apprécier l'aisance avec laquelle l'écrivain britannique fait voisiner les messages fanatiques relevés sur "le Mur" (le forum du site du club), genre "Forza Verona, comment passer un dimanche sans toi ?", avec des citations de Leopardi et Schopenhauer.
Sans jamais jouer à l'érudit qui descendrait paternellement parmi la plèbe le temps d'un match, sans non plus se prendre au sérieux (la question de son statut par rapport aux "vrais" supporters d'Hellas Verona est envisagée avec justesse et humour), Parks est autant un écrivain qui joue au tiffosi qu'un tiffosi qui joue à l'écrivain ; beaucoup plus drôle qu'un numéro d'Actes de la recherche en sciences sociales sur le foot italien, sa Saison de Vérone échappe magiquement aux écueils de la fausse somme sociologique au second degré et tient de la comédie burlesque autant que du témoignage décalé, la passion (car il n'en manque pas) en plus. Un livre mineur ? Sans doute, mais qui vaut bien des romans majeurs. Comme il l'écrit lui-même, "on n'éprouve pas de telles émotions en regardant un match à la télé". Forza Verona !
Football factory est le premier roman écrit par John King. Il a connu un franc succès en Angleterre et a par la suite été traduit dans de nombreuses langues dont le français. Il est paru en France en 1999. C'est le premier tome d'une trilogie composée de La Meute (Headhunters) et Aux couleurs de l'Angleterre (England Away).
Ce récit explore la vie de Tom et de sa bande d'amis, hooligans anglais, fans de Chelsea, qui slalomment entre les bagarres, l'alcool et le sexe. Ce roman dépeint une fresque sur la société anglaise et la classe ouvrière en particulier, amoureuse de football mais en proie au chômage de masse et au racisme. Ce roman est adapté au cinéma en 2004 par le cinéaste anglais Nick Love sous le titre The Football Factory.
Carton jaune (Fever Pitch) est un roman britannique de Nick Hornby publié en 1992. L'histoire raconte la vie d'un supporter du club de football d'Arsenal. Le roman est largement autobiographique.
Liverpool:
Drame du Heysel (lien)
Tragédie d'Hillsborough (lien)
Poker:
Règles du Badugi
Tim Parks est né à Manchester en 1954, a grandi à Londres et étudié à Cambridge et Harvard. En 1981, il s'est établi en Italie à Vérone où il vit depuis lors.
Ecrire un livre : c'est sans doute l'une des meilleures excuses jamais inventées par un tiffosi pour expliquer à sa femme qu'il se rendra au stade trente-quatre dimanches par an (dont dix-sept à l'autre bout du pays), s'exposera aux dangers des confrontations avec les supporters des équipes adverses, à ceux des violences policières, passera la moitié de son temps libre sur le site Web du club et s'affichera publiquement avec une horde de fanatiques déchaînés dont la finesse n'a jamais été la vertu première. Tim Parks, traducteur et romancier (on se souvient de l'excellent Destin), a donc fait d'une équipe de foot italienne l'héroïne d'un livre qu'on aborde avec une curiosité sceptique mais qu'on avale rapidement comme une épopée mêlée d'ethnologie et de science politique, à la fois subtile et hilarante. Il faut dire que Parks n'a pas choisi la plus glorieuses des squadra italiennes : depuis son titre de champion d'Italie lors de la saison 84-85 (victoire mythique rappelée sur la page d'accueil de son site), Hellas Verona n'a guère brillé et se traîne péniblement dans les profondeurs du classement de la Serie A, avec la relégation en Serie B comme menaçante épée de Damoclès. Bienvenue, donc, dans un championnat réputé parmi les plus durs du monde : toute la saison 2000-2001 de Vérone vous est ici racontée comme un roman par un observateur aussi partial qu'enthousiaste pour lequel chaque match, chaque décision arbitrale, chaque gaffe de l'entraîneur sert à la fois d'élément d'une petite tragédie sportive et de révélateur sociologique ou politique.
On ira donc à la rencontre des Brigate Gallobliù, premier cercle des supporters en jaune et bleu de Vérone, passionnés, grossiers ("si l'on considère le conformisme politiquement correct qui règne aujourd'hui, le stade reste le seul endroit où l'on peut se lever pour hurler des insanités" ; Une Saison de Vérone peut aussi être utilisé comme un petit répertoire d'insultes en italien) et souvent racistes (beaucoup imitent le cri du gorille dès qu'un Noir touche le ballon). Voilà qui fournit à Parks le biais idéal vers de longues digressions sur la politique intérieure du pays, le nationalisme acharné du Nord et, plus effarant encore, l'important impact du foot sur les résultats électoraux (Berlusconi n'est sans doute pas directeur du Milan AC seulement par passion). On suivra au jour le jour le parcours incertain d'un club dont les supporters exècrent l'entraîneur et vice-versa, on se lancera dans des scénarios statistiques labyrinthiques afin de savoir quelle place atteindra Vérone au classement si l'Inter gagne à Bologne ("le football, c'est épatant pour les calculs de ce qui aurait pu éventuellement se passer -c'est très proche de la paranoïa"), on se scandalisera de décisions arbitrales iniques, on tournera de plus en plus fiévreusement les pages afin de savoir si, oui ou non, les jaune et bleu se maintiendront en Serie A cette année. On pourra en outre déguster au passage une ou deux phrases sur Zidane assez éloignées des portraits semi-divins qu'on en donne en France ("penché en avant, il traîne une petite valise à roulettes. Avec sa casquette vissée sur son crâne, il ressemble tout à fait à ces milliers de Nords-Africains sans emploi qui traînent dans les gares de chemin de fer du sud de l'Europe"), et apprécier l'aisance avec laquelle l'écrivain britannique fait voisiner les messages fanatiques relevés sur "le Mur" (le forum du site du club), genre "Forza Verona, comment passer un dimanche sans toi ?", avec des citations de Leopardi et Schopenhauer.
Sans jamais jouer à l'érudit qui descendrait paternellement parmi la plèbe le temps d'un match, sans non plus se prendre au sérieux (la question de son statut par rapport aux "vrais" supporters d'Hellas Verona est envisagée avec justesse et humour), Parks est autant un écrivain qui joue au tiffosi qu'un tiffosi qui joue à l'écrivain ; beaucoup plus drôle qu'un numéro d'Actes de la recherche en sciences sociales sur le foot italien, sa Saison de Vérone échappe magiquement aux écueils de la fausse somme sociologique au second degré et tient de la comédie burlesque autant que du témoignage décalé, la passion (car il n'en manque pas) en plus. Un livre mineur ? Sans doute, mais qui vaut bien des romans majeurs. Comme il l'écrit lui-même, "on n'éprouve pas de telles émotions en regardant un match à la télé". Forza Verona !
Football factory est le premier roman écrit par John King. Il a connu un franc succès en Angleterre et a par la suite été traduit dans de nombreuses langues dont le français. Il est paru en France en 1999. C'est le premier tome d'une trilogie composée de La Meute (Headhunters) et Aux couleurs de l'Angleterre (England Away).
Ce récit explore la vie de Tom et de sa bande d'amis, hooligans anglais, fans de Chelsea, qui slalomment entre les bagarres, l'alcool et le sexe. Ce roman dépeint une fresque sur la société anglaise et la classe ouvrière en particulier, amoureuse de football mais en proie au chômage de masse et au racisme. Ce roman est adapté au cinéma en 2004 par le cinéaste anglais Nick Love sous le titre The Football Factory.
Carton jaune (Fever Pitch) est un roman britannique de Nick Hornby publié en 1992. L'histoire raconte la vie d'un supporter du club de football d'Arsenal. Le roman est largement autobiographique.
Liverpool:
Drame du Heysel (lien)
Tragédie d'Hillsborough (lien)
Poker:
Règles du Badugi
Re: Pour ceux qui sont passés au Staccato après le match hier...
J'avais jamais entendu parler de ces drames c'est chaud quand meme . Ce qui me fait halluciner c'est que le match de la juve se soit poursuivi... ce qui prouve bien que le foot c que pour le fric , et que meme des morts ca n'arrètera pas uen finale.
Nicestyle- Messages : 1702
Date d'inscription : 24/09/2008
Re: Pour ceux qui sont passés au Staccato après le match hier...
Je crois que t'es parti un peu avant qu'on parle de tout ça. Dommage que tu bossais ce matin...Nicestyle a écrit:J'avais jamais entendu parler de ces drames c'est chaud quand meme . Ce qui me fait halluciner c'est que le match de la juve se soit poursuivi... ce qui prouve bien que le foot c que pour le fric , et que meme des morts ca n'arrètera pas uen finale.
Re: Pour ceux qui sont passés au Staccato après le match hier...
Si j'arrive a trouver la vidéo, je posterais le match Liverpool-Juventus en LDC d'il y'a 3 ans, quand le Kop des Reds avait fait un tifo marqué "Sorry" et les Juventini avaient tourné le dos, majeur en l'air
A savoir que depuis, les supporters de la Juve haïssent profondément les Reds, et le font savoir ouvertement!
A savoir que depuis, les supporters de la Juve haïssent profondément les Reds, et le font savoir ouvertement!
Le 14- Messages : 2085
Date d'inscription : 23/09/2008
Age : 40
Re: Pour ceux qui sont passés au Staccato après le match hier...
PARFAIT !!!
Merci Sly !!
Merci Sly !!
Simon- Messages : 2616
Date d'inscription : 23/09/2008
Age : 33
Localisation : Devant le pc !
Re: Pour ceux qui sont passés au Staccato après le match hier...
ca va t bien rentré petit padawan , vous etiez pas pompette JESPERE ? Sinon panpan culcul
Nicestyle- Messages : 1702
Date d'inscription : 24/09/2008
Re: Pour ceux qui sont passés au Staccato après le match hier...
Ca allait très bien Guigui, l'ennui, c'est que yavait mes clefs dans le sac, ma mère l'as mal pris de se lever en pleine nuit m'ouvrir
Hillsborought :
http://fr.youtube.com/watch?v=a16gV5ZQ8g0&feature=related (partie 1)
http://fr.youtube.com/watch?v=uaA1XHcDt7U&feature=related (partie 2)
Hillsborought :
http://fr.youtube.com/watch?v=a16gV5ZQ8g0&feature=related (partie 1)
http://fr.youtube.com/watch?v=uaA1XHcDt7U&feature=related (partie 2)
Simon- Messages : 2616
Date d'inscription : 23/09/2008
Age : 33
Localisation : Devant le pc !
Re: Pour ceux qui sont passés au Staccato après le match hier...
J'ai acheté FOOTBALL FACTORY en rentrant tout à l'heure. Le style est très particulier et j'ai l'impression que c'est traduit à l'arrache. En fait faut le lire comme si le mec te parlait comme ça. La première phrase du livre me fait réver : "Coventry égale de la merde". Si un jour j'écris un livre je commencerais par "Cannes égale de la merde".
Pour le livre de Rothen je suis preneur Sly, et je vais pas tarder à me choper "Une saison de Verone".
Pour le livre de Rothen je suis preneur Sly, et je vais pas tarder à me choper "Une saison de Verone".
Arno- Messages : 4090
Date d'inscription : 23/09/2008
Localisation : Nissa
Re: Pour ceux qui sont passés au Staccato après le match hier...
Arno a écrit:
et je vais pas tarder à me choper "Une saison de Verone".
+1
Eicko- Messages : 3843
Date d'inscription : 24/09/2008
Age : 83
Localisation : Saint Laurent du Var
Re: Pour ceux qui sont passés au Staccato après le match hier...
Je ne sais pas si tu te souviens, mais j'ai dit hier que c'était écrit façon "(Virginie) Despentes", comme du langage oral.Arno a écrit:J'ai acheté FOOTBALL FACTORY en rentrant tout à l'heure. Le style est très particulier et j'ai l'impression que c'est traduit à l'arrache. En fait faut le lire comme si le mec te parlait comme ça. La première phrase du livre me fait réver : "Coventry égale de la merde". Si un jour j'écris un livre je commencerais par "Cannes égale de la merde".
Pour le livre de Rothen je suis preneur Sly, et je vais pas tarder à me choper "Une saison de Verone".
OK pour le livre de Rothen.
Re: Pour ceux qui sont passés au Staccato après le match hier...
Arno a écrit:J'ai acheté FOOTBALL FACTORY en rentrant tout à l'heure. Le style est très particulier et j'ai l'impression que c'est traduit à l'arrache. En fait faut le lire comme si le mec te parlait comme ça. La première phrase du livre me fait réver : "Coventry égale de la merde". Si un jour j'écris un livre je commencerais par "Cannes égale de la merde".
Pour le livre de Rothen je suis preneur Sly, et je vais pas tarder à me choper "Une saison de Verone".
c'est des livres super mal traduit, comme un saison de vérone (titre original : questa pazza fede - cette folle foi), meme si celui ci est mieux traduit, rien ne vaux de lire ces livres dans leur version originale (anglais ou italien, mais faut avoir du niveau en langue)...
sinon je vous conseille aussi:
noi, ultras padrone dell calcio, ou le récit de la vie d'un ultra laziale, camerista de surcroit, qui fait le bilan de sa vie, c'est écrit volontairement en langage familier, voire meme en dialecte romain pour certaines expression, et c'est jouissif, pour peu que l'on ait vécu des choses semblables
bonnes lectures a tous
Nikos- Messages : 41
Date d'inscription : 16/10/2008
Simon- Messages : 2616
Date d'inscription : 23/09/2008
Age : 33
Localisation : Devant le pc !
Re: Pour ceux qui sont passés au Staccato après le match hier...
Sly Bug a écrit:*hips*
tu m'étonnes avc tous les porto que tu as bu!!!!
Francky- Messages : 253
Date d'inscription : 27/09/2008
Age : 36
Localisation : NICE
Re: Pour ceux qui sont passés au Staccato après le match hier...
LOIACONO a écrit:Sly Bug a écrit:*hips*
tu m'étonnes avc tous les porto que tu as bu!!!!
Le porto quand tu commences a en boire tu ne t'arretes plus
Pinto16- Messages : 208
Date d'inscription : 24/09/2008
Localisation : Nice
Re: Pour ceux qui sont passés au Staccato après le match hier...
A qui le dis tu !Pinto16 a écrit:LOIACONO a écrit:Sly Bug a écrit:*hips*
tu m'étonnes avc tous les porto que tu as bu!!!!
Le porto quand tu commences a en boire tu ne t'arretes plus
Re: Pour ceux qui sont passés au Staccato après le match hier...
Bien dormi Sly ?
Les idées sont claires ?
Les idées sont claires ?
Aigloun- Messages : 412
Date d'inscription : 24/09/2008
Age : 49
Aigloun- Messages : 412
Date d'inscription : 24/09/2008
Age : 49
Re: Pour ceux qui sont passés au Staccato après le match hier...
Merci à ceux qui sont passés hier. Bonne petite soirée
Re: Pour ceux qui sont passés au Staccato après le match hier...
A remettre au prochain match.
Le parking était gratuit, j'espère que tu n'as pas payé Clément.
Le parking était gratuit, j'espère que tu n'as pas payé Clément.
Eicko- Messages : 3843
Date d'inscription : 24/09/2008
Age : 83
Localisation : Saint Laurent du Var
Re: Pour ceux qui sont passés au Staccato après le match hier...
Soirée très sympathique, on a bien parlé sur le club et sur l'avenir (FFF/FSGT/DEBUTANTS/EQUIPE A 7...) et certains ont pris des roustes au baby apparemment
Arno- Messages : 4090
Date d'inscription : 23/09/2008
Localisation : Nissa
Re: Pour ceux qui sont passés au Staccato après le match hier...
Guillaume est jaloux de ma façon de jouer au baby-foot
Re: Pour ceux qui sont passés au Staccato après le match hier...
Désolé de ne pas être venu mais j'avoue qu'après le match à la télé, j'étais moyennement motivé pour sortir.
Qu'est-il ressorti des discussions svp ?
Qu'est-il ressorti des discussions svp ?
micoud04- Messages : 1245
Date d'inscription : 23/09/2008
Age : 38
Localisation : Nice
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